François Henri Clicquot (1777). Relevage par Pierre François Dallery (1825) pour un montant de 3 500 francs ;
modifications peut-être opérées à l’occasion de ce relevage.
Organistes titulaires :
Jean Nicolas Marrigues (1808–1834)
Louis Braille (1834–1839)
Paul Charreire (1839–1842)
Edouard Batiste (1842–1854)
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| * jeux neufs ou modifiés |
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| I – Positif (50 notes, ut1-ré5 sans ut#1) |
II – Grand-orgue (50 notes) |
III – Bombarde (50 notes) |
| Montre 8 (ut1-mi1 communs avec le Bourdon) Bourdon 8 Première Flûte 8 (au la2) Deuxième Flûte 8 * (au la3) Prestant Quinte [Nazard] Tierce Cornet [V] (à l'ut3) Trompette Clairon Cromorne Basson (ut1-ut4) Hautbois (au la2) Tacet [chape libre] |
Montre 16 Bourdon 16 Montre 8 Bourdon[-Flûte]* 8 Première Flûte 8 (à l'ut2) Deuxième Flûte 8 * (à l'ut3) Prestant Grosse Tierce Nazard Quarte de Nazard Tierce Grand Cornet [V] (à l'ut3) Première Trompette Deuxième Trompette Clairon Voix humaine Tacet [chape libre] Tremblant doux |
Bombarde [placée sur deux chapes] Trompette |
| IV – Récit (32 notes, sol2-ré5) |
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| [Bourdon 8 sans registre] Flûte 8 * Cornet [IV] Hautbois |
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| V – Echo (32 notes, sol2-ré5) |
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| Flûte 8 Bourdon 8 Trompette |
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| Pédale (30 notes) [Fonds : 21 notes, la0-fa2] [Anches : 30 notes, la0-ré3] |
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| Accouplement Positif/Grand orgue Accouplement Grand orgue/Bombarde 10 soufflets cunéiformes sur deux niveaux Diapason proche de la = 392 Hz |
Bourdon 16 Flûte 8 Flûte 4 Bombarde Trompette Clairon |
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Source : relevé d’Edouard Batiste, s.d. [novembre 1845], complété par quelques indications du relevé d’Aristide Cavaillé-Coll (22 août 1842) et l'observation du matériel conservé.
En 1854, Ducroquet installe un pédalier à l’allemande, supprime les trois Flûtes de Pédale (le sommier ancien étant conservé pour les anches) et ajoute un sommier supplémentaire à l’arrière de l’orgue pour six jeux neufs de Pédale (Flûte 16 ouverte, Contrebasse 16, Flûte 8, Violoncelle 8, Flûte 4, Gambe 4). Les tuyaux des tourelles du grand corps, antérieurs à Clicquot, sont renouvelés. Le reste de l’instrument est conservé sans modifications, y compris le diapason et les dix soufflets cunéiformes (ils avaient été restaurés en 1835 par Louis Paul Dallery). En 1871, Merklin effectue un relevage, pose une nouvelle soufflerie à deux réservoirs et renouvelle les claviers endommagés par un obus.
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